En guise de conclusion


Le YI JING est un code dont les clés permettent de décrypter les lois du monde du Vivant. Le projet ALAYA a pour objectif dereprésenter graphiquement les 64 hexagrammes qui le composent ainsi que les 384 connexions générées par une fonction appelée fonction de dérivation.

On peut constater que la solution proposée sur ce site va bien au-delà du cahier des charges initial. Les hexagrammes sont disposés géométriquement non seulement en fonction de la technique des dérivés mais aussi de celles des nucléaires, opposés, retournés et calendériques, de telle sorte qu’ALAYA représente non seulement les 64 hexagrammes du Yi Jing MAIS AUSSI ses rouages et sa dynamique interne.

Rouages et hexagrammes s’emboîtent parfaitement au sein d’une sphère, évoquant un TAIJI TU en 3 dimensions. Plus intéressant encore, on peut voir apparaître une figure qui n’est pas sans rappeler la Semence de Vie, l’un des symboles les plus connus de la Géométrie Sacrée.

Le projet ALAYA établit donc clairement un pont

entre YI JING et GEOMETRIE SACREE.

 

Dès lors, comment conclure tant ce diagramme semble riche de pistes à explorer !

Le résultat présenté ici a été obtenu de manière empirique et après de nombreuses simulations … un peu à la manière d’un casse-tête chinois.
Il apparait donc évident que la prochaine étape consitera à essayer de déterminer des règles de construction internes au diagramme lui-même, l’idéal étant bien sûr de pouvoir le recréer à partir d’une « simple équation ». Cette seconde version est actuellement en cours de publication. Elle sera développée sur base de 8 Merkabah, l’un des symboles les plus puissants de la Géométrie Sacrée.

Les Chinois se méfient des inventeurs et de ceux qui se présentent comme tels. Soucieux de m’inscrire dans cette tradition, je me contenterai de présenter ce travail comme étant original et personnel. Je remercie néanmoins ceux qui m’ont soutenu de manière sincère et désintéressée au cours de la réalisation de ce projet : Régine, Françoise, Gérald … et quelques autres.
Ils se reconnaîtront !

 

Gatien SEIJNHAEVE
Genève, janvier 2008

 

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